Dans le Figaro du 10 février 2016, Damien Mascret rapporte les effets prometteurs de l’atorvasatatine utilisée dans un essai thérapeutique portant sur la DMLA, dans sa forme sèche. Cette forme sèche, atrophique, représente 85% des cas de DMLA et augmente avec le vieillissement de la population. Une première étude Americano-européenne portant sur 23 patients traités par atorvastatine à la dose de 80 mg/j a entrainé une régression des lésions (drusen), ce qui reste à confirmer par un travail de plus grande ampleur. Cela reste intéressant devant l’absence, à ce jour, de traitement efficace de cette forme de DMLA, tandis que la forme humide bénéficie de plusieurs thérapeutiques efficaces dont les anti-angiogéniques.